L’artiste sénégalais MamJ Ras Soul nous offre un joyau musical avec la sortie de son deuxième single très attendu, baptisé « Mam’a Rôog ». Ce morceau transcende le reggae en y intégrant des éléments spirituels profonds qui résonnent dans l’âme de l’auditeur.

Une Fusion Envoûtante

Chanté en sérère, une langue emblématique du Sénégal, ce single offre une expérience afro-reggae douce, sensuelle et mélodieuse. Les rythmes envoûtants associés à des messages spirituels engagés créent une atmosphère unique, reliant la tradition sérère à des instruments de musique traditionnels, harmonieusement intégrés.

Un Voyage Spirituel

L’inspiration derrière « Mam’a Rôog » puise dans l’histoire du Nguel, une tradition significative des Sérères au Sénégal. Le rythme captivant de la chanson élève spirituellement, insufflant une puissance d’amour et de paix. Les paroles mettent en avant le pardon divin, un message poignant dans un contexte où le pays fait face à des divisions et le monde traverse des périodes sombres.

Collaboration Internationale et Créativité Diversifiée

Le processus créatif derrière ce single est tout aussi impressionnant. Enregistré entre le village de Nianing au Sénégal et le studio Khidma Music Group à Dakar, avec des collaborations internationales notables telles que Dawise, Jahmo Band, Manjul, et d’autres talents.

Un Visuel Captivant

La vidéo, capturée dans les îles du Saloum au Sénégal, a impliqué une équipe multinationale. Les Belges Sebastian Schaevers et Anton Wouters ont ajouté une dimension visuelle captivante. Le travail d’équipe se poursuit avec des collaborations notables de structures sénégalaises telles que Wowa Studio, Tuning Studio, Timo Design, et New Deal, ainsi qu’une touche artistique venue d’Angleterre par Thomas Kumeling dans le color dragging.

Une Invitation à l’Amour et au Pardon

« Mam’a Rôog » se révèle comme une expérience musicale et visuelle qui unit les cultures à travers la musique et la spiritualité. MamJ Ras Soul nous encourage à embrasser l’amour et le pardon, soulignant le pouvoir transformateur de ces éléments, même dans les périodes les plus sombres de notre monde.