Alhamdoulilah
Wassalatou wa salamu ala achrafil anbiyai wal mursaline seydina Mohamed wa ala alihi haqaqadrihi wa mihdaril azim
Wa radiyalahu anhu khutbul maktum khatmil mahlum mawlana cheikh Ahmad tijani wala khalifati alal itlaq mawlana cheikh Ibrahim niass radiyalahu tala anhu
Ya himmata cheikh …
Kilini …
Barham embaume les turpitudes de mon âme afin que puisse éclater au grand jour la beauté de ton être.
Une Beauté Qui n’est t’autre que celle de ton maître Abal qasim
De l’isthme Scellé à l’émergence de la khilafa tes récits diffèrent mais le dénominateur commun reste l’émissaire du maître des azurs.
Pérégrin en ces rives étranges il visita ce bas monde Ibrahim niass était de passage.
Sa barque n’était pas l’arche de noé mais noé fut son arche abritant sa réalité subtile.
Son corps n’est qu’illusion, sa vrai nature n’est ni adamique ni angélique.
a peine perceptible derrière chacun de ses souffles un long râle dit une complainte et fait entendre subrepticement une poésie qui ne se livre qu’aux initiés.
Une poésie que l’on ne peut imiter car elle prend sa source la ou n’existe ni le temps ni l’ espace
L’amour de cheikh Ibrahim niass pour Mohamed saws ne souffre d’aucune concurrence
Wa zalika ibrahima yahwa mouhamadan sa amrou wujudil kawni ghayra muwaquaï.
Son oeuvre est une toile de maître avec mille et une nuance de couleurs.
Des dawali au haoussa en passant par les dioula.
Il n’eut pour seul concours que celui du divin parcourant la terre vivifiant la sunnah du bien aimé pour accomplir une oeuvre titanesque entrant indubitablement au panthéon des illustres.
Ses actes révèle un amour inconditionnel pour le paraclet il resta stoïque face aux nombreux procès d’intentions dont il fit l’objet.
Épris et Consumés par les feux de l’ascèse il n’avait d’yeux que pour le prophète.
Le bien aimé s’en est allé rejoindre la demeure lumineuse mais son secret est plus que jamais vivant. Médina Baye la consciencieuse pleure son ambassadeur itinérant .
Pérégrin en ces rives étranges il visita ce bas monde Ibrahim niass était de passage.
Sa barque n’était pas l’arche de noé mais noé fut son arche abritant sa réalité subtile.
Au delà de l’aspect mystique de l’initiation
au delà des rites et des oraisons
Abu ishaq inculqua l’amour du prophète aux masses.
Douce réminiscence souvenirs de la tombe céleste où pullulait la vie. La réalité mohammadienne s’est incarné en lui il na nulle besoin de la prière du parfum car il est en odeur de sainteté auprés des rois et des serviteurs.
Volupté dextérité que si je célérité empreint de nonchalance
Louange au magnanime et généreux dispensateur de grâces
Louange aux maître des mondes qui nous fit don
d ‘Ibrahim niass de kaolack.
Inna Ibrahim kaana umatan
Wa aakhirou dawanaa anil hamdoulilaahi rabbil alaamine